Le Mandalorien prouve qu’il y a de l’espoir pour l’empire Star Wars
Il y a longtemps, dans une ville très, très lointaine (Boston, Massachusetts), un moi plus jeune aurait été ravi à l’idée d’un paysage télévisé jonché de Guerres des étoiles montre. J’étais un enfant qui lisait une encyclopédie de Guerres des étoiles termes comme s’il s’agissait d’un roman ordinaire. (Et, en effet, j’ai lu beaucoup de Guerres des étoiles romans.) J’étais là le jour de l’ouverture de chacune des « éditions spéciales » des films originaux, ravie de voir enfin les premiers textes de mon obsession sur grand écran. Ensuite, bien sûr, les préquelles sont arrivées, tout comme l’adolescence plus tard et toutes ses distractions qui l’accompagnent, et mon Guerres des étoiles la passion s’est évanouie.
Il a été relancé quelques années plus tard, par le réveil de la force, Un voyouet Le Dernier Jedi, suites de films solides d’une saga qui avait encore du gaz dans le réservoir hyperdrive. Mais le nouveau propriétaire de Guerres des étoiles, Disney, ne pensait pas que quelques films à succès suffisaient à justifier leur achat massif. Ainsi, des terrains de parcs à thème seraient construits sur les deux côtes et une multitude de séries télévisées seraient produites pour remplir les silos du nouveau service de streaming de la société, Disney +.