La « reine de Versailles » a construit un jet privé zéro émission (dans son salon)
Avez-vous déjà eu ces jours où tout ce que vous voulez faire est d’avaler du caviar et de le rincer avec du champagne, le tout dans le confort d’un jet privé ? Pour Jackie Siegelsujet du documentaire de 2012 La Reine de Versaillesce jour est également connu sous le nom de « mercredi ».
Il est difficile de trouver le meilleur descripteur pour Siegel. Elle est une ancienne gagnante du concours de beauté de Mme Florida America et actuelle directrice du concours. Elle est mariée à David Siegel, fondateur de Westgate, alias « pouvons-nous juste avoir un moment de votre journée pour parler de multipropriété ? L’Utah est magnifique! » Elle a été dans un parcelle de photos avec Donald Trump, exprès. Elle est apparue sur le radar public pour sa quête de construction d’une maison de 90 000 pieds carrés en Floride, qui serait la plus grande maison d’Amérique, documentée dans La Reine de Versailles et une série télévisée de suivi. La maison n’a jamais été achevée et a subi plus de 10 millions de dollars de dégâts causés par l’ouragan Ivan en 2022. Elle a… tellement d’enfants ! Siegel contient des multitudes, et maintenant l’une de ses maisons contient ce qui est essentiellement une chambre de maison de poupée grandeur nature où elle peut GN étant sur un jet privé.
Dans un TikTok publié mercredi sur son compte, Siegel, vêtue d’une robe moulante et de tongs, se dirige vers son « expérience de jet privé ici dans mon salon, afin que je puisse profiter de mon caviar en première classe », puis se laisse tomber sur un bonafide siège d’avion et prépare elle-même un petit craquelin, accompagné de crème fraîche, en disant utilement à son auditoire que vous pouvez le trouver au rayon des produits laitiers. (J’aiderai également en disant que la crème sure fonctionne comme une substitution à la rigueur, pour ces véritables urgences de caviar.)
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C’est… vraiment quelque chose.
L’attention portée aux détails est folle, à la fois là où elle est payée et non : Siegel obtient un petit soutien lombaire d’un oreiller traversin avec la marque flyExclusive, une société de location de jets privés. Son seau à glace est également arborant le logo de l’entreprise dans un peu de spon furtif potentiel. Une fenêtre sur le « jet » – qui, je dois le remettre à Siegel, est une expérience à zéro émission et à zéro turbulence qui atterrit toujours à l’heure – a un fond nuageux pour se pencher sur l’illusion, mais pas celle à côté d’où Siegel est assise, juste au-dessus de sa petite table. Une bouteille d’eau Fidji est en attente, car l’hydratation ne dort jamais. La façon dont Siegel dit « caviar »—cyaaaaah-vee-ar– est digne d’une vie d’érudit. Un fourre-tout de la taille d’un week-end se cache dans le coin du cadre, bourré de… quelque chose. Les serviettes? Des robes en maille plus extensibles ? Un autre verre vide attend sur la table, pas encore rempli de champagne, et, oui, c’est un autre Evian là-bas à côté de cette mer vide. Mais qui attend-il? Qui rejoindra Siegel dans son (dé)vol de fantaisie ?
OMS? Et… où ira-t-elle ensuite ? Quelque chose à méditer, car quelque part là-bas, Siegel, à l’opposé de la richesse furtive, se manifeste absolument.